- J’ai eu le courage de regarder en arrière
- Les cadavres de mes jours
- Marquent ma route et je les pleure
- Les uns pourrissent dans les églises italiennes
- Ou bien dans de petits bois de citronniers
- Qui fleurissent et fructifient
- En même temps et en toute saison
- D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans des tavernes
- Où d’ardents bouquets rouaient
- Aux yeux d’une mulâtresse qui inventait la poésie
- Et les roses de l’électricité s’ouvrent encore
- Dans le jardin de ma mémoire
Apollinaire, Alcools
Ha! Ha! Ah! Je meurs…
« Saoul comme un polonais » ne vient pas de ce cher Guillaume de par sa naissance!
Je préfère sa « nuit d’avril 1915 » où tout chat miaulant annonce la mort de l’homme indépendant…
Je sors!
Ton autre Knarf, censé ou plutôt avec…